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Carrefours thématiques

Les carrefours thématiques ont lieu le mardi 6 avril de 14h à 17h.

Ils seront l’occasion pour les participants de se familiariser avec le SIB grâce à des présentations variées. Elles porteront sur des enjeux autour des données de biodiversité illustrant des exemples concrets de ce qui peut être fait dans le cadre du SIB.

Chaque salle présente deux à trois présentations successives de 30 minutes, regroupées sous une thématique commune.

Les participants pourront passer d’une salle à l’autre entre chaque présentation proposée, et chacune d’entre elles se terminera par un temps de questions et d’échanges entre les intervenants et les participants.

Notez que toutes les présentations seront enregistrées et disponibles sur ce site après le séminaire.

  • Salle 1 : Consolider les aires protégées et le réseau écologique dans les territoires
  • Salle 2 : Limiter la consommation d’espaces naturels et la pollution lumineuse
  • Salle 3 : Protéger les espèces en danger et lutter contre les espèces invasives
  • Salle 4 : Améliorer la connaissance sur les espèces et les habitats naturels
  • Salle 5 : Faire de l’agriculture une activité durable pour la biodiversité
  • Salle 6 : Recherche, innovation et développement sur les données de biodiversité
  • Salle 7 : Faire parler les données sous forme d’indicateurs

Les inscriptions sont terminées. Pour toute inscription de dernière minute, contactez-nous


Salle 1 : Consolider les aires protégées et le réseau écologique dans les territoires

“Stratégie nationale pour les aires protégées” : organisation du suivi et de l’évaluation

La nouvelle stratégie pour les aires protégées a été bâtie selon une logique évaluative autours de 7 objectifs, 18 mesures et 8 cibles à 2030 positionnant ainsi l’évaluation au cœur de son dispositif d’animation et de pilotage. Il s’agit de la première stratégie nationale complètement intégrée : terre et mer, métropole et outre-mer, création et gestion, tous types d’AP. Son ambition dépasse largement les enjeux de création de la précédente SCAP en ciblant également l’efficacité de la gestion et son évaluation, l’intégration des AP dans les territoires et les activités. L’élaboration du dispositif d’évaluation, qui doit aboutir en juin, implique plusieurs chantiers autour des questions évaluatives et des critères de jugement, des futurs indicateurs et études évaluatives et pose inévitablement en retour la question, objet de l’intervention, des données à mobiliser et le rôle du SIB dans leur identification, production, gestion, partage et diffusion.

Intervenants : Laurent Germain, Anne Sophie Barnay, Coline Chanet

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=YIm1MiDO2hE&t=12s

“Documents de gestion des aires protégées” : vers une base nationale

Dans le cadre de la mise en œuvre d’actions prévues à l’objectif 2 de la SNAP et pour les besoins du centre de ressources « appui aux documents de gestion » animé par l’OFB (DAP), un travail interne de compilation de bases de données est en cours. Il vise à regrouper pour l’ensemble des aires protégées concernées par la SNAP, des informations sur la gestion (gestionnaires, documents de gestion, reconnaissance etc…). Nous présenterons l’objectif et l’avancement de cette compilation de données et de créations de champs complémentaires ainsi que les analyses possibles alimentant la réflexion sur la gestion des aires protégées.

Intervenants : Caroline Delelis, Thomas Gendre

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=YIm1MiDO2hE&t=2348s

“Biodiversité-Menaces-Aires protégées“ : Croisements de données pour la Stratégie nationale pour les aires protégées

En 2018 un travail d’inventaire a été entamé sur le programme SCAP. Au-delà des objectifs chiffrés de surface, la question était de savoir si les aires protégées couvraient effectivement les enjeux de biodiversité (distribution des espèces et des habitats). Au-delà de cette étude de l’efficacité des aires protégées (la réponse) pour la biodiversité (l’état), un nouveau travail a été entamé en 2020 pour intégrer les menaces (pressions) sur la biodiversité dans la planification des futures aires protégées. Ce croisement entre les données de biodiversité, de menaces et la position des aires protégées sera exécuté courant 2021, mais un exemple issu d’un travail précédent sera présenté pour illustrer le principe.

Intervenants : Isabelle Witte, Marie Caroline Prima

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=YIm1MiDO2hE&t=4520s


Salle 2 : Limiter la consommation d’espaces naturels et la pollution lumineuse

GeoMCE : capitalisation des mesures de la séquence éviter – réduire – compenser

La loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages en 2016 a rendu obligatoire la géolocalisation et la description des mesures compensatoires « biodiversité » dans un système national d’information géographique accessible au public sur internet. Une ambition qui a évolué : de la biodiversité à l’environnement, de la seule compensation à l’intégralité de la séquence ERC dans l’outil GeoMCE. Aujourd’hui, l’information sur la compensation est accessible au grand public depuis le géoportail. Des difficultés sont encore à lever :
> hétérogénéité des données disponibles : quantitatif/qualitatif, fiabilité
> un périmètre à stabiliser : quelles compensations (écologique, environnementale, agricole, forestière, etc.) ? Quel évitement ?
> une organisation de production à clarifier : services instructeurs, les bureaux d’études, interconnexion SI métiers (des projets Vs des procédures) : Onagre, Cascade, Gun déjà.
> le partage de la construction de référentiels (classification des mesures)
> anonymisation ou la protection d’espèces à enjeux.

Intervenant : Daniel Berthault

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=xym0kMc6lQM&t=14s

« Pollution lumineuse, trame noire” : production et partage des données

L’éclairage nocturne s’est fortement déployé ces dernières décennies, engendrant une pollution lumineuse pour la biodiversité. En réponse, les trames noires se développent en France, comme déclinaison de la Trame verte et bleue, afin de préserver et restaurer des réseaux écologiques nocturnes. Ces démarches soulèvent de nouvelles questions concernant les données. Les acteurs ont besoin de données d’éclairage ou de biodiversité nocturne pour constituer les diagnostics de Trame noire. Or, les données existantes (telles que les référencements des lampadaires communaux) restent rares et hétérogènes. En outre, les données spatialisées de trame noire (réservoirs/corridors) ne sont pas non plus cadrées à ce jour. Cet atelier a ainsi pour objectif de poser le sujet et d’échanger sur ces besoins afin d’identifier les démarches à mettre en place pour faciliter la standardisation, la collecte, la centralisation, la mise à disposition des données relatives à la Trame noire.

Intervenants : Romain Sordello, Jennifer Amsallem

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=xym0kMc6lQM&t=2107s

Boîte à Outils Biodiversité : un nouveau service public numérique

La Boite à outil biodiversité (BOB), développée par PatriNat, propose des services numériques de traitement et de valorisation des informations disponibles sur la biodiversité. Elle permet de mobiliser et de synthétiser les informations disponibles dans différentes bases de données des SI métiers du SIB à l’échelle de sites d’études et de leur voisinage. Quatre modules sont aujourd’hui opérationnels (Zonages d’inventaire et de protection, Occupation du sol, Réservoirs de biodiversité et Corridors écologiques) et deux sont en cours d’élaboration (Espèces et Habitats) et viendront enrichir la boite à outils. Ces services numériques ont vocation à accompagner les utilisateurs afin de répondre aux politiques publique et devraient être prochainement accessibles via une interface web.

Intervenante : Cindy Fournier

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=xym0kMc6lQM&t=4223s


Salle 3 : Protéger les espèces en danger et lutter contre les espèces invasives

« Les espèces et leurs statuts réglementaires » : présentation des actualités sur TAXREF et la base de connaissances sur les statuts des espèces

La base de connaissance sur les statuts concerne toutes les espèces pour lesquelles des politiques publiques sont mises en œuvre, les espèces ayant été soumises à la méthodologie Liste Rouge de l’UICN et les espèces listées dans ces conventions internationales. Les services associés à la diffusion des informations permettent actuellement aux utilisateurs d’avoir accès aux données en fonction de la zone d’application d’une politique publique, d’une liste rouge et d’une convention. Ces services vont évolués à partir de 2021 avec la mise en place d’un service permettant une sélection multicritères associée à l’ensemble des données de connaissances sur les espèces. Ce nouveau service doit structurer les priorités de complétude à atteindre notamment en termes de traits de vie et de répartition des espèces.

Intervenants : Pascal Dupont, Claire Régnier

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Ye1iE9eRBYU&t=12s

« Espèces exotiques envahissantes » : état des lieux concernant le partage des données

La thématique « espèce exotiques envahissantes » présente de nombreuses données produites et gérées par différents acteurs du territoire. Cette intervention propose un état des lieux des données produites et questionne les enjeux autour du partage et de la consolidation de ces données.

Intervenants : Nicolas Poulet, François Delaquaize

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Ye1iE9eRBYU&t=1946s

Le RMQS-Biodiversité : surveiller la biodiversité du sol dans le cadre  du Réseau de mesures de la qualité des sols (RMQS)

La biodiversité du sol représente environ un quart des espèces de la planète. Bien qu’indispensable aux activités humaines, elle est méconnue, menacée et peu considérée. En France, les caractéristiques physico-chimiques des sols sont suivies depuis 20 ans sur les 2240 sites du RMQS (http://www.gissol.fr/le-gis/programmes/rmqs-34). Aujourd’hui, l’ambition est d’y ajouter la surveillance de la biodiversité du sol grâce au déploiement du RMQS-Biodiversité. Ce projet, soutenu par l’Office français de la biodiversité dans le cadre du GIS Sol, est actuellement en phase de test. Cinq protocoles sont prévus afin de suivre la microfaune, la microflore, la mésofaune, la macrofaune et trois fonctions du sol impliquant les organismes vivants (la porosité, l’activité enzymatique et la dégradation de la matière organique). L’un des enjeux de ce projet sera de rendre accessibles et interopérables les données de biodiversité collectées sur l’ensemble des sites. A cet égard, l’appui du Système d’information de la biodiversité serait déterminant.

Intervenants : Claudy Jolivet

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Ye1iE9eRBYU&t=3965s


Salle 4 : Améliorer la connaissance sur les espèces et les habitats naturels

“La surveillance de la biodiversité terrestre” : Contexte et objectifs du programme national, le tableau de bord des dispositifs de suivi

Afin de suivre l’évolution de la biodiversité en France et répondre aux enjeux des politiques publiques associées, la mise en place d’un programme de surveillance nationale de la biodiversité terrestre est en cours depuis fin 2019, sous l’animation de l’UMS PatriNat. En s’appuyant sur des suivis robustes et de long terme, ce programme vise à suivre les tendances nationales des différents compartiments de la biodiversité terrestre, dans un cadre état-pressions-réponses.
Cet atelier présentera les enjeux de ce projet ainsi que les travaux en cours, dont l’élaboration d’un tableau de bord qui permet de rassembler des informations détaillées pour analyser les principaux dispositifs de suivi de biodiversité nationaux (organisation, cadre scientifique, ressources humaines et financières, etc.). Cette caractérisation s’appuie notamment sur les référentiels et les métadonnées partagées dans le SINP. Cet état des lieux permettra d’identifier les dispositifs existants, à développer ou à renforcer pour contribuer au programme de surveillance terrestre.

Intervenants : Antoine Lévêque, Camille Gazay

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=gbG1DcxZq5o&t=10s

Enjeux d’interopérabilité des données : exemple basé sur le projet CRHABE (Centralisation des Restitutions des HAbitats BEntiques)

Pour répondre à l’ensemble de ces politiques publiques, il existe un grand nombre de données surfaciques d’habitats. Elles ne sont pas ou peu exploitées au titre des directives Européennes. L’ensemble de ces données sont hétérogènes, dispersées, souvent non qualifiées, parfois non disponibles. L’objectif du Life Marha est d’établir une démarche de centralisation et de partage des données utiles aux politiques publiques produites sur la représentation surfaciques des habitats benthiques. Disposer des données historiques ou actuelles, ainsi que des données brutes et des types d’analyses utilisées pour ces cartographies est le but recherché pour mieux les qualifier. La valorisation des données surfaciques accessibles (open data) ne doit cependant pas créer de nouvelles bases de données et complexifier ainsi leurs bancarisations. Dans ce cadre l’appui des systèmes d’information biodiversité et milieux marins est essentiel.

Intervenant : Aurélien Schmitt

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=gbG1DcxZq5o&t=2220s

OpenObs : La diffusion des données d’observation sur les espèces au profit des politiques publiques

OpenObs permet la consultation et le téléchargement des données d’observation sur les espèces disponibles dans l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN). Ces données sont notamment rendues disponibles grâce au travail de mise en réseau des producteurs de données réalisé dans le cadre du Système d’information de l’inventaire du patrimoine naturel (SINP). Openobs offre un ensemble de critères de recherche avec comme objectif de faciliter l’usage de ces données, notamment dans le cadre des projets d’étude sur l’état ou les tendances ainsi que pour des projets de protection du patrimoine naturel. Cet atelier consistera à aborder la question de l’usage d’OpenObs dans le cadre des politiques publiques du SIB. Comment OpenObs peut-il notamment améliorer son offre de services, proposer de nouvelles fonctionnalités, de nouveaux critères de recherche afin de permettre d’élargir son usage à de nouveaux acteurs ?
En savoir plus :
Découvrir OpenObs
Voir la vidéo de démonstration

Intervenante : Solène robert

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=gbG1DcxZq5o&t=4110s


Salle 5 : Faire de l’agriculture une activité durable pour la biodiversité

Agriculture et biodiversité : proposition d’indicateurs

Nous présenterons le travail réalisé par l’association Humanité et Biodiversité pour proposer à l’Observatoire national de la biodiversité de nouveaux indicateurs de la biodiversité dans les milieux agricoles, en y intégrant la biodiversité « domestiquée », pour suivre les différentes pressions s’exerçant sur cette biodiversité et pour évaluer également les pressions « exportées » par les milieux agricoles vers d’autres milieux.

Intervenant : Bernard Chevassus-au-Louis

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=l7szWjfxrYU&t=10s

Un indicateur de biodiversité synthétique basé sur la structure des paysages et les pratiques agricoles

Le projet européen H2020 NIVA vise à développer des outils numériques open source afin de moderniser le suivi de la nouvelle PAC et ouvrir les données agricoles à d’autres domaines dont l’Environnement. L’équipe française (ASP, INRAE, IGN) est en charge du développement de trois indicateurs agro-environnementaux : stockage du carbone, lixiviation des nitrates, biodiversité. L’indicateur biodiversité est basé sur la relation entre structure des paysages, pratiques agricoles et biodiversité. La méthode de calcul de cet indicateur repose sur un modèle développé dans le cadre du projet FarmLand, qui permet de prédire la diversité multi-trophique (plantes, arthropodes, oiseaux) au niveau du paysage. Le calcul de cet indicateur repose sur les données PAC et les données satellites. Différents niveaux de précision de l’indicateur sont envisagés en fonction de la disponibilité des données. Un des objectifs du projet NIVA est d’identifier les acteurs intéressés par la mise en œuvre de ces trois indicateurs.

Intervenants : Guillaume Marchand, Clelia Sirami, David Sheeren

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=l7szWjfxrYU&t=1803s

Le réseau de suivi des effets non intentionnels (ENI) des pratiques agricoles sur l’environnement

Le réseau de suivi des ENI existe depuis 2012 au travers des financements du plan Ecophyto, dont il est un projet structurant. Il est animé par le MNHN (Muséum nationale d’histoire naturelle), financé par l’Office français de la biodiversité (OFB) – via le plan Ecophyto – et piloté par le ministère de l’agriculture et de l’alimentation (DGAL). Le réseau de suivi des ENI s’intègre dans la surveillance biologique du territoires ; qui, outre les effets de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques sur la biodiversité et l’environnement (le réseau ENI justement), comprend un volet de surveillance des organismes nuisibles sur le territoires et un volet épidémiosurveillance du territoire (les bulletins de santé du végétal). Les relevés du réseau ENI s’appuient sur des protocoles d’échantillonnages simplifiées de 4 taxons clefs (vers de terre, flore, coléoptères et oiseaux) sur 500 parcelles répartie sur le territoire métropolitain chaque année pour rendre compte de l’état de l’écosystème associé au système agricole.

Intervenante : Arielle Zoellin

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=l7szWjfxrYU&t=3660s


Salle 6 : Recherche, innovation et développement sur les données de biodiversité

Présentation du HACK4NATURE

HACK4NATURE est un évènement organisé en virtuel pendant un an et durant lequel nous rassemblons des citoyens de tous horizons autour de défis visant à lutter contre l’érosion de la biodiversité, notamment à travers l’usage des nouvelles technologies et en travaillant en open source. L’objectif est d’orchestrer des temps d’intelligence collective et de constituer des équipes pluridisciplinaires pour former une large communauté pro-active en faveur de l’innovation et du développement sur les données et les outils en lien avec la biodiversité. Nous présentons tous les premiers mardis du mois, depuis octobre 2020, un nouveau challenge autour de solutions high tech ou low tech dont nous restituerons les résultats en septembre 2021 devant un jury.Cet atelier a pour objectif de présenter le cadre général de l’événement et de présenter les 2 premiers cycles de challenges, sur la nuit et les villes vertes, qui ont déjà lancés.

Intervenants : Elise Méouchy, Olivier Rovellotti, Marianne Mesans

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=M7-FkwgSgTM&t=9s

Hack4Nature : Lancement du cycle “Transformer l’agriculture”

Le HACK4NATURE démarre actuellement le 3ème cycle sur l’agriculture à travers les challenges « Food Web for agroecology », « Can I eat ? » et « My local Cantine » qui porteront respectivement sur la représentation des réseaux trophiques des systèmes agroalimentaires grâce aux bases de données graphiques, sur l’évaluation de l’Empreinte Forêt de produits de consommation alimentaire et sur l’approvisionnement des cantines scolaires.

Intervenants : Eloi Pailloux, Eli Favrichon, Arnaud Dupleix

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=M7-FkwgSgTM&t=1862s

Hack4nature : Lancement du cycle « Protéger la Mer »

Le HACK4NATURE démarrera au moins de juillet le 4ème cycle sur les projets de la mer à travers les challenges « Grouper Tracker » et « Sea Horse ID » qui porteront respectivement sur l’annotations de photographies de Mérou et sur les algorithmes de ré-identification d’hippocampes.

Intervenants : Patrick Louisy, Isabelle Alexandre, Julien P. Renoult

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=M7-FkwgSgTM&t=3888s


Salle 7 : Faire parler les données sous forme d’indicateurs

Compteur de biodiversité outre-mer : des indicateurs aux sciences participatives, en passant par la co-construction

C’est le Livre Bleu outre-mer, synthèse des travaux des Assises des outre-mer, qui propose en 2018 la création d’un Compteur de la biodiversité. Ce nouveau dispositif vient notamment enrichir le portail NatureFrance en présentant un focus sur les territoires ultramarins. Outil actualisé et pérenne, il favorisera la rencontre, la synergie des citoyens et des acteurs de la biodiversité. Ce portail Web vise à mettre en lumière les enjeux de connaissance et de conservation, il offrira aux visiteurs une palette d’informations chiffrées et documentées afin de les amener à agir pour la préservation du patrimoine naturel. Comment construire un dispositif accessible et un narratif adapté à une diversité de contextes et d’enjeux ?

Intervenants : Guillaume Gigot

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Ma4Tqw7yya8&t=148s

L’entrepôt indicateurs : une solution pour un accès durable aux indicateurs de biodiversité

Au même titre que les données brutes sur la biodiversité, les données de synthèse doivent pouvoir être accessibles et réutilisables de façon pérenne. Pour répondre à ce besoin, l’UMS PatriNat a mis en place une base de données permettant de bancariser les descriptions d’indicateurs ainsi que les résultats de leurs calculs. Un service web de diffusion permet de consulter directement les fiches des indicateurs et télécharger les ressources associées (fichiers, visuels, etc.). Ce service alimente directement les pages des indicateurs de l’Observatoire national de la biodiversité sur le nouveau portail Naturefrance. Il sera également interrogé directement par le futur site du Compteur biodiversité outre-mer et par celui de l’INPN.

Intervenant : Florian Barnier

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Ma4Tqw7yya8&t=2469s

Le pôle national de données de Biodiversité : De la structuration à l’analyse des données de biodiversité, une approche FAIR et ouverte pour répondre aux besoins du plus grand nombre

Les principes « FAIR » définissent une ligne de conduite afin de rendre les objets de recherche, en commençant par les données, Faciles à trouver, Accessibles, Interopérables et Réutilisables. Associés au mouvement de science ouverte, ces principes permettent de faciliter l’accès aux données à tous et dans tous les niveaux de la société. A travers l’exemple des travaux menés ces 3 dernières années dans le cadre du montage de l’infrastructure de recherche « Pôle national de données de Biodiversité » https://www.pndb.fr/, en lien avec l’initiative mondiale GEO BON, la production d’indicateurs de biodiversité, les sciences participatives ou encore le partage d’outils d’analyse et l’accès à des ressources de calcul haute performance, nous proposons de présenter les intérêts d’une approche couplée « FAIR » et « open » pour valoriser les données de biodiversité le plus largement possible.

Intervenant : Yvan Le Bras

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Ma4Tqw7yya8&t=4782s